Un 19 février à 6h25

Je n’ai pas envie d’écrire ce matin ou plutôt je n’ai rien à dire car rien à penser. Serais-je déjà atteinte du syndrome de la page blanche ? Nous n’arrivons plus à dormir, la fatigue s’incruste en nous et commence à faire des dégâts. Mon prince est malade, fièvre, courbatures. Grippe ? Il est vacciné pourtant. Est-ce autre chose ? Je ne peux m’empêcher de penser au pire. Dorénavant, la peur de LA maladie est là. Et le courage a tendance à vouloir aller voir ailleurs. J’essaie de toutes mes forces de le retenir, de m’y raccrocher, de le garder en moi. Je réfléchis aux moyens de le tatouer sur ma peau dans un premier temps puis de lui faire une place définitive mais agréable dans mon cerveau. Je m’engage à le dorloter pour qu’il reste avec moi, encore un peu. Je jure de prendre soin de lui pour qu’il se sente libre et désireux de m’accompagner. Je lui promets en retour de le mettre en avant auprès des autres.

Va-t-il être d’accord ?

Un commentaire

  1. Le courage ma belle ne t’inquiète pas tu l’as et tu en as fait la preuve. Il n’est ni tatoué sur ta peau ni rangé dans ton cerveau.
    Ton courage tu l’as dans 3 endroits : dans ton coeur, dans ton prince et dans ton petit chat.
    Voilà pourquoi votre triangle est si important et si fort.
    Bien sûr que ton courage est là, en toi et à côté de toi, il faut juste savoir le faire sortir et s’en servir quand tu en as besoin.
    Gros bisous à toi et à ton courage !!!!

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